Nappes phréatiques au plus bas, tensions autour des centrales hydrauliques
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Dans le Couserans, la sécheresse frappe les nappes phréatiques. Les stations de lavage ferment, et les centrales hydrauliques doivent gérer des volumes d’eau réduits, provoquant inquiétude et tensions parmi les exploitants.
Pourtant, il y a quelques années, le directeur du CNRS de Moulis nous avait affirmé que le Couserans, dans sa configuration, ne manquerait pas d’eau.
À ce jour, le directeur des eaux du Couserans a une autre approche : les nappes phréatiques sont au plus bas. Les stations de lavage de véhicules sont à l’arrêt par décision préfectorale et les rivières, dont le Lez, posent problème.
Ce cours d’eau, jalonné de nombreuses centrales et barrages, devra lâcher du lest avec un volume d’eau plus important, nous indique la fédération de pêche, ce qui provoque la grogne des exploitants de ces centrales hydrauliques et, bien sûr, un manque à gagner. Tout cela est merveilleusement expliqué par la journaliste du magazine L’Ariégeois, Stéphanie Lopez, dans nos différents journaux.